Acheter, Rénover, Jardiner : Le Blog de Références Maison & Immo – Count Me Online https://www.count-me-online.nl Wed, 06 Aug 2025 15:37:08 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.count-me-online.nl/wp-content/uploads/2025/07/cropped-loan_2676617-32x32.png Acheter, Rénover, Jardiner : Le Blog de Références Maison & Immo – Count Me Online https://www.count-me-online.nl 32 32 Comment rendre une maison plus lumineuse sans gros travaux ? https://www.count-me-online.nl/comment-rendre-une-maison-plus-lumineuse-sans-gros-travaux/ https://www.count-me-online.nl/comment-rendre-une-maison-plus-lumineuse-sans-gros-travaux/#respond Wed, 06 Aug 2025 15:01:39 +0000 https://www.count-me-online.nl/comment-rendre-une-maison-plus-lumineuse-sans-gros-travaux/ Continue reading]]> Tu trouves ton intérieur un peu sombre ? Tu passes ta journée à allumer les lumières, même quand il fait beau dehors ? Franchement, t’es pas seul. Beaucoup de maisons (surtout celles des années 70-90) manquent cruellement de lumière naturelle. Mais bonne nouvelle : pas besoin de casser des murs ou de poser une verrière à 8 000€ pour éclaircir tout ça. Il existe des astuces simples, parfois surprenantes, qui changent vraiment l’ambiance. Et sans te ruiner.

Je te partage ici les meilleures idées que j’ai testées ou vues chez des proches (et franchement, certaines m’ont bluffé). Et si tu veux pousser la déco plus loin avec un œil pro, jette un œil à ce site : https://decoration-interieur-vendee.com. Ils ont de vraies inspirations qui donnent envie de tout refaire… sans tout casser.

1. Repenser les couleurs (et pas qu’un peu)

Oui, on le répète partout, mais c’est pas pour rien : la couleur des murs, c’est LE truc qui change tout. Le blanc, évidemment, ça fonctionne. Mais pas n’importe lequel. Évite les blancs froids (type hôpital). Privilégie un blanc cassé, légèrement ivoire ou lin. C’est plus doux, plus chaleureux, et ça capte bien la lumière.

Mais tu peux aussi jouer avec des tons clairs, comme un beige sable, un vert sauge ou un bleu ciel très pâle. Chez ma sœur, on a repeint une pièce en « gris perle » – j’étais sceptique – et bam, lumière décuplée.

2. Les miroirs : le réflexe bête… mais génial

Un grand miroir en face d’une fenêtre, et la pièce double visuellement de luminosité. C’est bête comme chou, mais ça marche à chaque fois. Tu peux même en accrocher plusieurs petits à différents endroits. Ou en poser un géant au sol, style atelier : effet waouh garanti.

3. Exit les rideaux lourds (oui, même s’ils sont jolis)

Les doubles rideaux épais, en velours ou en lin sombre, c’est beau, mais ça plombe la lumière. Perso, je les garde pour l’hiver, et je les remplace dès avril par des voilages fins. Blancs ou crème, qui laissent passer la lumière mais filtrent un peu l’intimité. Tu verras : ton salon va respirer.

4. Multiplier les points lumineux (et varier les sources)

Plutôt que d’avoir un plafonnier unique, mise sur plusieurs lampes réparties dans la pièce : lampadaire d’angle, lampe de table, guirlande LED… L’idée, c’est de recréer un éclairage doux mais homogène, à différentes hauteurs. Et si possible, opte pour des ampoules blanc chaud (2700K à 3000K), ça évite l’effet lumière de frigo.

5. Ose le mobilier clair et les surfaces brillantes

Tu veux que la lumière circule ? Elle a besoin de surfaces qui la reflètent. Une table en bois clair, des meubles blancs ou pastel, une crédence en inox ou en carrelage brillant… tout ça aide énormément.

Une copine a simplement changé son tapis noir pour un modèle écru à poils ras. Résultat : impression que sa pièce a gagné 10 m² et 2 heures de soleil.

6. Dégage les zones autour des fenêtres

Tu as un canapé collé à la fenêtre ? Une bibliothèque qui bouche la lumière ? Mauvaise idée. Essaie de libérer l’espace autour pour que la lumière circule librement dans la pièce. Même 30 cm de recul en moins peuvent faire une grosse différence.

7. Le plafond, ce grand oublié

On y pense rarement, mais un plafond un peu sale ou jauni, ça absorbe la lumière. Repeins-le en blanc mat bien lumineux. Et si tu veux t’amuser un peu, tu peux même tester une finition légèrement satinée qui renvoie subtilement la lumière naturelle.

En bref…

Tu n’as pas besoin d’un architecte ni d’un budget XXL pour rendre ta maison plus lumineuse. Un coup de peinture, deux-trois miroirs bien placés, un tri dans les rideaux, et ça change déjà tout. Et honnêtement, vivre dans un espace clair, ça joue aussi sur le moral. Alors, t’attends quoi pour t’y mettre ?

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Terrain constructible ou agricole : bien comprendre la différence avant d’acheter https://www.count-me-online.nl/terrain-constructible-ou-agricole-bien-comprendre-la-difference-avant-dacheter/ https://www.count-me-online.nl/terrain-constructible-ou-agricole-bien-comprendre-la-difference-avant-dacheter/#respond Fri, 25 Jul 2025 21:58:04 +0000 https://www.count-me-online.nl/terrain-constructible-ou-agricole-bien-comprendre-la-difference-avant-dacheter/ Continue reading]]> C’est un classique. Vous tombez sur une annonce avec un terrain immense, pas cher du tout, et vous vous dites : “Bingo, je vais construire ma maison là-dessus !”. Mais attention, parce que derrière les mots “terrain à vendre” se cache souvent une subtilité de taille : est-ce qu’on peut vraiment construire dessus ?

Franchement, la différence entre un terrain constructible et un terrain agricole, c’est pas juste un détail technique. C’est ce qui peut transformer votre rêve en galère. Et perso, j’en ai vu des gens qui ont signé un compromis trop vite, sans vérifier. Résultat : un champ à perte de vue… et pas un permis de construire en vue. Pour éviter ça, mieux vaut creuser un peu. D’ailleurs, ce site est pas mal pour commencer à se faire une idée des zones rurales et de leurs atouts : https://www.maison-village.fr.

Un terrain constructible, c’est quoi exactement ?

Un terrain constructible, c’est un terrain sur lequel vous avez *le droit* de bâtir. Dit comme ça, ça paraît simple, mais il faut que plusieurs conditions soient réunies.

Déjà, il doit être situé dans une zone urbaine ou constructible du PLU (Plan Local d’Urbanisme). C’est un document que vous pouvez consulter en mairie – ou souvent en ligne maintenant. Il définit les règles du jeu : hauteur, distance par rapport aux limites, type de construction autorisée… tout y est.

Ensuite, le terrain doit être *viabilisable*, voire déjà viabilisé. C’est-à-dire qu’il est (ou peut être) raccordé à l’eau, l’électricité, l’assainissement, la voirie. Et ça, croyez-moi, ça peut chiffrer vite si rien n’est prévu. Dans certains cas, rien que pour tirer l’eau ou l’électricité depuis le réseau le plus proche, on parle de plusieurs milliers d’euros.

Et un terrain agricole alors ?

Alors là, attention. Un terrain agricole, c’est tout sauf un terrain vierge “prêt à construire”. Il est réservé aux activités agricoles : culture, élevage, exploitation… Pas aux maisons de particuliers.

Et non, ce n’est pas parce qu’il y a un vieux cabanon dessus que vous pouvez y poser une villa. Les règles sont strictes. Pour construire dessus, il faut prouver que vous avez un projet agricole viable. Et encore… même dans ce cas, ce n’est pas garanti que l’administration vous suive.

Ce qui trompe souvent, c’est le prix. Un terrain agricole coûte souvent 10 à 20 fois moins cher qu’un terrain constructible dans la même zone. Mais si c’est pour ne jamais pouvoir y mettre une brique, est-ce vraiment une bonne affaire ?

Comment vérifier le statut d’un terrain ?

Premier réflexe : allez voir la mairie de la commune concernée. C’est LE point de passage obligé. Demandez le PLU ou, s’il n’existe pas, la carte communale. Certaines zones rurales n’ont pas encore de PLU à jour, c’est pas rare.

Ensuite, demandez un certificat d’urbanisme. Il en existe deux types : le certificat d’information (basique) et le certificat opérationnel (plus précis, notamment si vous avez déjà une idée du projet). Ce document vous dira noir sur blanc si votre projet est possible ou non.

Un détail qui compte : même si un terrain est dit “constructible”, il peut y avoir des contraintes spécifiques. Genre une zone inondable, un périmètre protégé autour d’un bâtiment classé… Et ça, ça peut franchement tout bloquer.

Pourquoi certains terrains agricoles sont quand même tentants ?

Je vais être honnête : parfois, c’est tentant d’y croire. J’ai visité un terrain dans le Lot il y a deux ans, 8 000 m² pour moins de 10 000 €, avec une vue à couper le souffle sur les collines. Le vendeur me sort : “Avec un peu de patience, ça va sûrement devenir constructible dans 10 ans”. Mouais…

Le problème, c’est que rien ne garantit ce changement de statut. Les PLU évoluent, oui, mais lentement. Et surtout, ils dépendent de décisions politiques locales, de schémas d’aménagement, d’enjeux environnementaux. Donc miser sur “peut-être un jour” pour construire, c’est risqué.

Mon conseil : ne rêvez pas les yeux fermés

Si vous cherchez un terrain pour construire, partez toujours du besoin réel : construire maintenant ou dans les 2–3 ans. Pas dans 15 ans, pas “quand les enfants seront grands”. Posez les questions qui fâchent, allez en mairie, prenez un notaire si besoin. Oui, ça prend du temps. Mais c’est 100 fois mieux que de découvrir que vous avez acheté un champ… pour y planter des regrets.

Et vous, vous en êtes où dans vos recherches ? Vous avez déjà visité des terrains pas très clairs sur leur statut ? Racontez-moi ça en commentaire, je suis curieux !

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Quelle surface de terrain pour construire sa maison ? Ce qu’il faut vraiment savoir https://www.count-me-online.nl/quelle-surface-de-terrain-pour-construire-sa-maison-ce-quil-faut-vraiment-savoir/ https://www.count-me-online.nl/quelle-surface-de-terrain-pour-construire-sa-maison-ce-quil-faut-vraiment-savoir/#respond Fri, 25 Jul 2025 21:50:18 +0000 https://www.count-me-online.nl/quelle-surface-de-terrain-pour-construire-sa-maison-ce-quil-faut-vraiment-savoir/ Continue reading]]> Tu rêves de faire construire ta maison, mais tu te retrouves face à la fameuse question : * »Combien de m² il me faut pour mon terrain ? »*. Spoiler : il n’y a pas de réponse toute faite. Parce que ça dépend. De plein de trucs. Du type de maison, du style de vie que tu veux, de la région aussi… Et franchement, entre ce qu’on imagine et ce qu’on découvre sur le terrain (au sens propre), y’a parfois un sacré décalage.

Je vais tout te dire, en version claire et sans baratin. Parce qu’un terrain, c’est pas juste une surface. C’est un cadre de vie. Et si tu veux éviter de te retrouver à l’étroit (ou à tondre 2 000 m² tous les dimanches), ça vaut le coup de bien réfléchir. J’ai d’ailleurs trouvé des exemples très inspirants sur ce site : https://www.maison-atypique.fr, ils montrent à quel point les choix de surface peuvent vraiment transformer un projet de construction.

Alors, c’est quoi la surface « idéale » pour construire ?

Bon, en France, la moyenne tourne autour de 1 000 m² pour un terrain constructible. Mais attention, c’est une moyenne. À la campagne, tu peux facilement trouver 1 500 voire 2 000 m². En zone urbaine ? 300 ou 400 m², et t’as déjà de la chance. À Toulouse, par exemple, j’ai visité un lot de 280 m² : tout petit mais bien foutu, avec une maison en L super optimisée.

Et concrètement, pour une maison de 100 m² au sol, on conseille souvent un terrain 3 à 5 fois plus grand. Donc entre 300 et 500 m² minimum. Pourquoi ? Pour laisser de l’espace autour de la maison : accès voiture, jardin, voisinage, réglementation…

Les règles du jeu : urbanisme, PLU et compagnie

Tu peux pas faire n’importe quoi, même si c’est ton terrain. Le Plan Local d’Urbanisme (PLU) de ta commune va te dire ce que tu peux construire, où, et comment. Certaines zones imposent une surface minimale de terrain pour construire (genre 600 m² en zone pavillonnaire), d’autres limitent l’emprise au sol ou imposent des marges par rapport aux limites du terrain.

Petit conseil : va direct en mairie. Ou sur le site geoportail-urbanisme.gouv.fr. Sérieusement, ça évite bien des galères. J’ai un pote qui a acheté un terrain magnifique dans les Landes… et qui a découvert après coup qu’il était en zone inondable. Il a galéré deux ans avant d’avoir un permis.

Tu veux un jardin ? Un garage ? Une piscine ? Réfléchis en mètres

Pose-toi cette question simple : tu veux faire quoi de ton terrain, au-delà de la maison ? Si t’adores jardiner, compte large. Un potager, ça prend vite 50 m². Une piscine ? 30 à 40 m² au sol, sans compter la plage autour. Et si t’as un chien (genre un border collie qui court non-stop), évite les mini-terrains. Perso, j’ai regretté de ne pas avoir pensé à ça avant…

Et puis n’oublie pas les annexes : abri de jardin, terrasse, allée carrossable. Tout ça grignote des mètres carrés. Une maison de 120 m² sur un terrain de 400 m², c’est jouable, mais faut que tout soit hyper bien pensé. Pas de place pour l’impro.

Le bon compromis entre surface, budget et confort

Oui, plus le terrain est grand, plus il coûte cher. Mais pas que : plus d’entretien, plus de taxes foncières, plus de distance à tout (surtout en zone rurale). C’est tentant d’avoir « beaucoup », mais attention à ne pas surdimensionner pour rien.

Moi, je dis : choisis un terrain qui colle à ta vraie vie. Si t’es souvent en déplacement, un grand jardin, c’est peut-être pas utile. Si t’as des enfants, pense aux espaces de jeux. Si tu télétravailles, calme et espace peuvent devenir prioritaires.

En résumé : pose-toi les bonnes questions

Avant même de visiter un terrain, demande-toi :

  • Quelle taille de maison je veux (ou je peux me permettre) ?
  • Est-ce que je veux un grand jardin, ou juste une terrasse cosy ?
  • Est-ce que je peux (et veux) entretenir un grand espace ?
  • Le PLU m’impose-t-il une surface minimum ?

Et si t’hésites entre deux tailles, visualise-les. Marche-les. Tu verras, 400 m², ça peut paraître immense ou minuscule selon ce que tu en fais.

Bref, la bonne surface de terrain, c’est pas une équation mathématique. C’est un équilibre entre tes envies, ton budget, les règles du coin… et un peu ton instinct aussi. Parce que parfois, on visite un terrain et on sait, direct, que c’est là. Et ça, aucun mètre carré ne peut le remplacer.

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Acheter une maison en campagne : 6 points clés à vérifier avant de signer https://www.count-me-online.nl/acheter-une-maison-en-campagne-6-points-cles-a-verifier-avant-de-signer/ https://www.count-me-online.nl/acheter-une-maison-en-campagne-6-points-cles-a-verifier-avant-de-signer/#respond Tue, 08 Jul 2025 13:59:57 +0000 https://www.count-me-online.nl/acheter-une-maison-en-campagne-6-points-cles-a-verifier-avant-de-signer/ Continue reading]]> Quitter la ville pour s’installer à la campagne, c’est un rêve pour beaucoup. Un jardin, le calme, les oiseaux plutôt que les klaxons… Franchement, on comprend. Mais avant de signer chez le notaire, mieux vaut ouvrir les yeux. Parce que la maison avec les volets bleus peut cacher deux ou trois (mauvaises) surprises. Voici les 6 choses à vérifier absolument si tu veux éviter les mauvaises surprises une fois les cartons posés.

1. L’état de la maison… au-delà des apparences

On commence par le basique, mais c’est trop souvent bâclé. À la campagne, les maisons sont parfois anciennes. Et parfois… très anciennes. Tu tombes sur des murs en pierre, c’est charmant, mais est-ce que ça isole vraiment ? Y a-t-il un double vitrage ? L’humidité, les fissures, les toitures en ardoise d’époque (super jolies mais super chères à rénover)… tout ça, il faut inspecter.

Un conseil : viens visiter après une grosse pluie. Tu verras tout de suite si le sous-sol prend l’eau ou si ça sent le moisi dans la cuisine. Et n’hésite pas à faire passer un artisan avec toi. Mieux vaut investir 200 € dans un diagnostic que 20 000 € après pour réparer.

2. La connexion Internet (oui, sérieusement)

Ça peut sembler secondaire… jusqu’au moment où tu dois télétravailler et que tu te rends compte que ta box rame plus qu’un modem 56k. Toutes les campagnes ne sont pas logées à la même enseigne. Vérifie la couverture fibre ou, au moins, ADSL. Et attention : la promesse « la fibre arrive bientôt », on l’entend souvent. Ça peut vouloir dire 6 mois… ou 6 ans.

Tu peux tester l’adresse sur les sites des fournisseurs avant même la visite. C’est rapide et ça peut éviter des frustrations.

3. Les accès et les temps de trajet

Tu veux de l’espace, mais à quel prix ? Si tu mets 40 minutes pour aller chercher du pain ou emmener les enfants à l’école, ça va vite devenir un frein. On sous-estime trop souvent ce point. Pose-toi la question : à quelle distance est le supermarché ? le médecin ? la gare ?

Fais le trajet aux heures de pointe. C’est là que tu auras une vraie idée. Parce que la jolie route déserte à midi peut devenir un enfer à 8h.

4. Les voisins et le voisinage

À la campagne, tu ne verras peut-être pas tes voisins tous les jours. Mais tu les entendras. Un coq qui chante à 4h du mat, des chiens de chasse qui aboient en meute, des tondeuses le dimanche matin… c’est du vécu. Et si la maison voisine est à l’abandon ? Ça peut vite devenir un problème aussi (rongeurs, squatteurs, ou simple déprime visuelle).

Fais un tour à pied dans le quartier. Discute avec les gens si tu peux. En général, les habitants sont contents de papoter. Et tu apprendras des choses que même l’agent immobilier ne sait pas.

5. Le terrain : pas juste une pelouse

Un grand terrain, c’est séduisant. Tu te vois déjà planter des tomates, installer un hamac, faire des barbecues… Oui, mais. Est-ce que le terrain est constructible ? Est-il en pente ? Est-ce qu’il faut une tondeuse tractée pour l’entretenir ? Et surtout : est-il inondable ?

Va à la mairie pour consulter le plan local d’urbanisme (PLU). Tu sauras si tu peux construire un garage, une piscine, ou si ton terrain est en zone agricole. Et regarde aussi s’il y a des servitudes : passage obligatoire, droit de passage pour un voisin, etc.

6. Les frais cachés

Dernier point, et pas des moindres : les coûts. À l’achat, une maison en campagne peut sembler bien moins chère. Mais attention aux frais annexes. Le chauffage au fioul ? Hyper coûteux. La fosse septique ? À faire contrôler, voire à remettre aux normes (et là, on parle de 10 000 € facile). La taxe foncière ? Parfois salée, même loin des villes.

Demande les factures des derniers propriétaires. Chauffage, électricité, eau, entretien. Ça te donne une idée du budget réel. Et si l’agent ou le vendeur rechigne à te les montrer, pose-toi des questions.

Alors, toujours prêt à signer ?

Acheter à la campagne, c’est un choix de vie. Un super choix, parfois. Mais c’est aussi un quotidien différent, qui demande d’anticiper pas mal de choses. Si tu coches ces six points, franchement, tu pars déjà sur de bonnes bases. Et tu éviteras de transformer ton havre de paix en galère à plein temps.

Dernier conseil : ne te fie pas qu’au coup de cœur. Prends ton temps. Visite plusieurs biens. Et surtout, écoute ton instinct (mais aussi un peu ton banquier).

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